La Meule PILOTE de la série Les Ateliers de l’Olibrius

On part avec une caméra et on improvise autour d’un lieu…
Puis on monte cette matière. On triture l’objet pour lui donner un sens. Il s’agit de chercher, gratter la matière cinéma. Le off, ce qui n’est pas dans l’image… Un genre de mouvement(s) perpétuel(s). Un épisode peut parfaitement être remonté sous une forme différente : mais cette même matière donne t elle un sens différent ? D’où cela vient il ? Bref il s’agit bien de tisser, à la manière d’une planche de BD la relation d’une image à l’autre, d’un son à l’autre. Et puis il y a l’idée de l’Homme qui butte sur lui même, comme un obstacle, un grain de sable, dans l’illusion d’une réalité : comment donner de la profondeur à une image plate ?

 

Synopsis : Le champ, la profondeur de champ, le hors champ et les retournements de situations. C’est bien beau mais Franck Poupart s’en fout. Ce qu’il veut c’est pouvoir avancer pour jubiler…